Okada Yukari

Who I am inside:

My little story:

Bon je pense que je ne peux pas y couper …. Si ? Non… c’est bien ce qu’il me semblait. Cependant, je tiens à vous prévenir d’avance que ma vie est tout ce qui est de plus normal. Comme n’importe qu’elle petit fille je suis née d’un père et d’une mère aimant un 11 Juliette 1990 à Fukuoka [attention à celui qui dit que je suis veille]. La seule différence que j’ai peut-être avec votre famille c’est que mon père était et est toujours d’ailleurs, un grand politicien.

Je sais ce que vous allez me dire, vous pensez certainement que naitre dans une famille encrée dans la politique est un enfer pour un enfant. Et je vous répondrais que vous avez probablement raison. Seulement, en naissant, j’ai eu la chance de déjà avoir un grand frère à mes cotée. Du coup, j’ai pu grandir naturellement sans trop de pression sur mes épaules.

D’accord cette façon de penser est certainement très égoïste mais je ne peux pas non plus changer le passer. C’est mon frère qui a irrité du lourd fardeau de la famille et pas moi, je ne vais pas m’en plaindre tout de même ? D’autant plus que mon frère ne m’en a jamais voulue d’être né après lui. Attention, je ne dis pas non plus qu’il n’a jamais voulu être le plus jeune de la famille. Je veux simplement dire que très vite mon frère m’a fait comprendre que je n’avais pas à m’en vouloir pour ma position dans la famille.

Comme je vous l’ai donc déjà dis, j’ai pu grandir sans avoir d’horrible responsabilité, cependant il ne faut pas croire que ma vie était pour autant toute rose. Vous devez certainement le savoir, quand on nait dans une famille de haut rang, on se doit d’avoir un certain prestige dans le moindre de nos mots et de nos gestes. Tout comme mon frère je n’ai donc pas échappé aux cours de bonne manière, de langage et j’en passe… Bon après je n’en suis pas morte, mais c’est qui me donne encore actuellement cet air hautain et supérieur que beaucoup me reproche.

Pour le reste de mon enfance, je n’ai pas grande chose à vous confier d’autre, hormis le fait que non je n’ai pas eu de cours à domicile. Sérieusement, tous les enfants de riche ne sont pas cloîtrés chez eux à tous prix vous savez ? J’étais même une petite fille plutôt sociable qui se faisait assez facilement des amis, si vous voulez tous savoir. D’ailleurs à mon entrée au collège, j’ai fini par rencontrer un garçon qui est très vite devenue mon meilleur ami. Malheureusement à cette époque notre insouciante, ne nous avais pas fait réaliser à quel point notre amitié était impossible et inimaginable …. Je m’en souviens encore de ce jour où j’ai parlé de lui à mes parents. Cette expression sur leur visage à ce moment-là, c’était comme si le ciel leur était tombé sur la tête…

-«  Yukari je t’interdis d’être ami avec garçon !! »

C’est les seuls mots que mon père avait prononcé avant de m’envoyer dans ma chambre. Je ne vous dis pas la crise de l’arme qui sent est suivis dans ma chambre… Comme étais-je censé bien prendre la chose alors que l’on interdisait à une petite fille de 6ans de ne plus voir son ami.

Plus tard, mon frère m’expliquera les raisons de la colère de mon père. Sérieusement, comment étais-je censé savoir que ce garçon était en fait le fis de son plus grand concurrent ? Comme si à mon âge je m’intéressais à la politique et pouvais sans aucun problème faire le rapprochement entre Nijimura et le Nijimura le collègue de mon père… A l’époque cette raison m’a toujours semblé grotesque et injuste, mais avec le reluque je peux finalement comprendre pourquoi mon père m’avait interdit le revoir …. Malheureusement pour lui, je n’ai compris cela que très récemment … Je vous laissez donc sans problème imaginez comment j’ai pris son ordre….

-« Tooruuuuuuu tu es dans ma classe c’est trop génial »

Et oui, je n’ai jamais écouté mon père et encore pire dès mon entrée au lycée je me suis retrouvée dans la même classe que Nijimura. Mon pauvre père, quand j’y pense à cette époque il a vraiment du s’arracher les cheveux…

Après en grandissant Tooru comme moi avons finalement commencé à comprendre le danger de notre amitié. Du coup, au lieu de se voir ouvertement devant nos parents on a commencé à se cacher un peu plus. Hooo là là mais n’allez pas vous imaginez des trucs dégoutant hein !! Entre lui et moi il ne sait jamais rien passé hormis une magnifique amitié pleine de fou rire et de bon moment.

Bon d’accord, d’accord c’est vrai qu’entre nous il aurait pu se passer quelque chose. Je l’avoue. Seulement nos liens nos jamais eu le temps d’évoluer plus loin que la dernière année de lycée…

Vous savez à cette âge-là, on commence à comprend les enjeux de bien étudier, de passer plus de temps à réfléchir à notre vie futur donc naturellement on a commencé à un peu moins se voir. Mais c’est véritablement la blessure de Tooru qui a fini par causer une fracture entre nous.

Ho bien sur j’ai essayé d’être là pour lui mais entre son renfermement et mes nouvelles occupations on a fini par arriver à la fin de l’année et à se perdre de vue. Aujourd’hui je regrette de ne pas avoir fait plus pour lui, seulement à cette époque je suivais les traces de mannequin de ma mère et je l’avoue j’avais plus facilement en tête mes futurs voyage et séances photo que le mal-être de mon meilleur ami ….

Finalement, vient le moment du choix de ma fac et de mes futures études. A ce moment j’étais déjà certaine de vouloir continuer en tant que mannequin, mais bien sur mon père refusait que je n’étudie pas. Du coup, j’ai choisi d’étudier la politique tout comme mon frère. Beaucoup me traite de folle d’avoir commencé ce genre d’étude, d’autant plus que ça ne me passionnait pas plus que ça… Alors pourquoi ne pas avoir fait autre chose allez-vous me demandez. En vérité c’est simple, c’est uniquement pour mon frère. Pour moi il était important d’être à ses côtés dans la période la plus dure de sa vie et puis en fessant les mêmes études que lui, j’étais certaine de pouvoir assurez la relève si jamais quelque chose ce m’était à mal tourner…. Bien sûr n’allez pas croire que j’ai pour autant perdu de vue mon rêve, en parallèle je continuais à enchainer les shooting photo et les castings.

En y réfléchissant, c’est d’ailleurs à cette époque que je suis complètement devenue accro à la technologie. Je ne pouvais plus me passez de mon portable qui me gardais en connexion constante avec mes amis et surtout les agences de mannequin. Au bout d’un moment, j’en suis même devenue à dormir avec mon portable en main c’est pour vous dire… Bon malgré cette addiction, j’ai terminé haut la main mes études tout comme mon frère d’ailleurs. Il a alors intégré les affaires familiales et moi, comme j’en rêvais, j’ai intégré une agence de mannequin.  

Mon histoire aurait pu se terminer là, seulement ça n’aurais aucun sens puisque je ne vous ais toujours pas expliquer comment j’ai atterri dans cette ville à la fois paradis et enfer sur terre.

Un beau jour, je devais être âgée de 20 ans environs, j’ai entendu par mégarde une conversation entre mon père et celui de Tooru. N’ayant plus de nouvelle de lui depuis le lycée, je n’ai pas pu m’empêcher d’écouter la conversation en espérant avoir de ses nouvelles. Je suis restée assise pendant de longues heures derrière cette porte à prier pour qu’il parle d’autre chose que de politique. Beaucoup de personne aurait fini par abandonner à ma place, mais ma persévérance finie par payer. Alors que je n’avais plus aucune nouvelle de Tooru depuis des années, j’avais enfin fini par retrouver sa trace.

Après ça tous c’est fait assez rapidement, j’ai très vite décidé, accompagné de mon frère qui avait besoin d’une pause, de me rendre à Nishinka pour le retrouver. Bien entendu, je me suis débrouillée pour que mon agence me transfert dans la ville pour cacher mes véritables raison à mon père et à ma mère. Seulement je n’avais pas prévue que cette ville soit aussi grande, j’ai donc trouvé un appartement au cœur de la ville et me suis mise à la recherche de mon ami tandis que mon frère découvrait les joies de pouvoir respirer sans être traqué par le moindre journaliste, j’avais 22 ans à ce moment et je pensais que tout allait bien se passez….

J’avais pensée à tous, j’avais tous prévu sauf une chose… Que mon frère tombe amoureux… Rien de bien dérangent de base. La fille en question était plutôt sympathique, jolie, pas d’un haut milieu mais mes parents n’étaient pas là pour crisser alors qu’importe, j’ai laissé mon frère vivre sa vie. Seulement je n’avais pas réfléchi au fait que cette ville n’était pas comme tous les autres et que deux clans étant en constante opposition. Comme dans Roméo et Juliette mon frère était en vérité tombé amoureux d’une denshou révolutionnaire alors qu’il était un pur Shinki de base.

C’est à partir de ce moment-là que j’ai essayé de le résonner, de lui faire comprendre qu’il n’était pas bon pour lui de se laisser embobiner par cette fille. Seulement il était déjà trop, son amour pour elle était devenu inconditionnelle et il a fini par faire la pire erreur de sa vie qui la conduit directement en prison…

Je pense qu’à partir de là vous commencer à comprendre pourquoi je suis devenue une de ces Shinki qui déteste les denshou non ? Ils m’avaient enlevé la seule chose qui était la plus important au monde pour moi et à cause deux je n’ai jamais pu revoir mon frère.

Et quand est-il de Tooru alors ? Et bien trop occupée par les amours de mon frère et par son sors j’ai complètement délaissé mon objective de base pendant deux ans. Et une fois que je suis arrivée à reprendre le cours d’une vie normal, j’ai fini par penser que finalement si j’avais écouté mon père tout ceci ne serait jamais arrivé… Hors de question donc de continuer à rechercher la cause première de tous mes problèmes.

Bien entendu mes parents ont fini par être au courant et mon directement ordonné de revenir à la maison. Seulement, il était hors de question pour moi d’abandonner mon frère dans cette ville d’autant plus que j’avais à présent une mission à accomplir … faire payer et éradique tous les denshou…

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