Avatar : Choi Minho Pseudo : Saya Date de naissance : 31/07/1991 Age : 32 That's what i do there : Mannequin et danseur - boucher à mis temps What about love ? : Le néant c'est plutôt cool ! How I feel : Messages : 1756
Mar 13 Oct - 18:42
Boucher, quel beau métier !
Ft. Tachibana Kyohei
Ah que le monde est beau ! Non, vraiment... Ma vie est merveilleuse ! Je ne pouvais pas rêver mieux que ce magnifique métier qu'on m'a imposé quand on m'a forcé à entrer dans la NSA. Ah vraiment... J'ai toujours rêver d'être boucher !
Je lève la tête de mon dossier. Je crois que c'en est fini de ma concentration... Pour que je reparte sur ce stupide métier... Enfin, ça pourrait être pire. Quand je pense à Yuki, je me dis que je suis bien tomber. Franchement, je le plains. Être un clown à longueur de journée, ça ne doit pas être cool. Et encore, moi je ne travaille pas toute la journée en tant que boucher parce que sinon j'aurais péter un câble. Il manquerait plus qu'on m'interdise de danser en tant que professionnel. Enfin... Je me lève de mon bureau en regardant l'heure. Je sors rapidement de la salle en pestant contre ce métier débile auquel je dois aller.
- Franchement qui est le crétin qui choisit nos métiers de couvertures ?!
Sauf qu'en disant ça je rentre dans quelqu'un. Personne qui se marre, va savoir pourquoi. Je lève la tête et tombe sur un visage inconnu. C’est parti pour découvrir une nouvelle tête !
- Désolé, je dois aller faire le boucher !
Bon, va falloir que je m'habitue à ce métier parce que je suis pas prête de changer...
Avatar : Kamenashi Kazuya Pseudo : Lauly Date de naissance : 23/06/1988 Age : 35 That's what i do there : Magicien o/ What about love ? : Fièrement marié à ma co-admin afufu 8D How I feel : Thinking... about how awesome we are
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Sam 17 Oct - 22:22
Il allait enfin pouvoir reprendre le travail à cent pourcents, il était content de ça parce que traîner en tant que NSA sans avoir de boulot, ce n’était pas pratique. Certes, il ne pouvait pas leur reprocher puisque ce n’était pas de leur faute si on lui avait tiré dessus, qu’il avait été plus que chamboulé et que de ce fait être agent de sécurité s’avérait être compliqué. On lui avait assigné un métier moins difficile, moins contraignant et qui jugerait son contact avec les gens. Il ne ferait rien de plus simple que de servir des gens dans un café. Cela ne gênait pas le magicien puisqu’il l’avait déjà fait par le passé, avant de devenir un agent. Mais Kyohei a toujours eu cette manie de démissionner à cause de l’ennuie qu’une tâche pouvait lui provoquer et en tant que NSA, la plupart du temps, son patron le renvoyait soit parce qu’il ne fichait rien, soit parce qu’il s’attirait des ennuies. Jouer à James bond avec son collègue, l’attaquer à coup de morceau de viandes, l’insulter aussi. Seulement il fallait le comprendre, il essayait durement de trouver une solution pour s’occuper, pour quitter cette routine parce qu’on s’en lassait malheureusement très vite et que lui aimerait pouvoir vivre de sa passion. Hors, ceci n’était qu’un rêve irréalisable puisque à moins d’être un magicien de renom, un tel métier ne rapportait pas beaucoup. Et s’il adorait la musique, qu’il aimait gratter ses doigts sur sa guitare, ce n’était pas dans ce domaine que le garçon avait envie de réussir.
Les mains dans les poches, le jeune homme quittait un bureau, prêt à partir ailleurs, il sursauta face à cet individu qui venait tout juste de lui rentrer dedans. Machinalement, le magicien le contempla quelque peu surpris, un sourcil arqué, alors qu’il le dévisageait. C’était la première fois qu’il le croisait par ici et qu’il voyait sa tête tout court. Et puis... Au vue de sa réflexion, il était probablement nouveau. La plupart des anciens étaient habitués aux rôles qu’on leur attribuait et que ça plaise ou non, ils ne ronchonnaient pas et faisaient avec. Ce qui l’étonna un peu plus néanmoins était le travail qu’on avait donné à cet inconnu. Kyohei avait envie d’en rire cependant il n’en fit rien. L’amusant là-dedans était qu’on racontait ça à lui alors qu’il avait dû y passer par là aussi.
- « Faire le boucher » ? Répéta-t-il, une esquisse amusée autour des lèvres, Ce n’est pas dramatique. On s’y fait au métier à force. J’ai déjà été à votre place mais je me suis fait viré. C’est dommage, c’était drôle.
Parce que t’agressait ton binôme en face, idiot. Sinon tu aurais vite déchanté toi aussi.
- Vous finirez par vous y faire vous aussi. Et méfiez vous aussi, comme on dit, les murs ont des oreilles.
Son regard vaqua autour d’eux pour lui faire comprendre de peser ses mots lorsqu’il parlait et qu’il était préférable de râler intérieurement plutôt que d’exprimer sa colère aux yeux de tous. Un faux pas et on pouvait être vite rayer de la « carte ».